On a réédité un certains nombres de récitals de Güden pour Decca (collection « Most Wanted recitals » … j’en reparlerai). J’en dis quelques mots, pour compléter le propos du dernier article. Il est assez logique que je commence par le disque titré Mozart...
Lire la suiteDiapason vient de publier dans ses indispensables, sous le titre, discutable, de « Mozart – Les Grands Opéras » (et La Clémence, alors ?), un coffret qui propose non seulement une interprétation de référence de chacune des œuvres qui compose la trilogie...
Lire la suiteObsédés des listes, cet article est pour vous. Il n’y a pas grand monde en mesure d’y trouver le moindre intérêt, mais je me rappelle encore mon émotion en découvrant que ces « choses » existaient. Et puis ça bloquera la publicité le temps que je retrouve...
Lire la suiteComme disait ma grand-mère quand elle arrivait au dénouement d’un film américain : « Ze Ende »... Je comptais d’abord aller jusqu’en 1973, l’histoire d’accompagner certains films/performances que j’aime beaucoup mais j’ai constaté un hiatus important...
Lire la suitePour sa première Constance en studio Gruberova (qui ne dit pas, pas plus que ses partenaires, les dialogues) palpite avec un sérieux et une ardeur imperturbable et dont on a pas assez dit les qualités de poésie. Moins immaculée mais aussi moins polaire...
Lire la suiteAvant d’oublier … je relisais la semaine dernière l’autobiographie de Christa Ludwig . Je reste étonné de constater que le texte a été publié et qu’en plus il a été traduit en français (alors que, par exemple, l’autobiographie de Nilsson, qui semble anthologique...
Lire la suiteUne fois n’est pas coutume, voilà le compte rendu d’un enregistrement qui vient de paraître. Je guette, pour des raisons pas tout à fait obscures, le récital belcantiste de Simone Kermes, depuis l’annonce du programme, qui repose considérablement les...
Lire la suite1970 eut cela d’exceptionnel que, pour la première et dernière fois de l’histoire (si on excepte évidemment les deux premières années pour des raisons qui coulent de source), toutes les nommées étaient de nouvelles invitées au bal (et trois faisaient...
Lire la suiteLady McBeth à dix-neuf ans, quasiment pour ses débuts. Dix ans de triomphe au Met dans des emplois variés, quoiqu’essentiellement circonscrits au XIXème romantique et au XXème lyrique et exigeant. Sieglinde (même à Bayreuth) avant Fricka, Alice avant...
Lire la suite[Vous m’excuserez mais j’ai un blog à clôturer.] 1969 a pour particularité, du point de vue “oscarisant” qui nous occupe, de susciter des passions dévastatrices, quatre, au moins, des nommées, provoquant, dans leur rôles respectifs, des déchainements...
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